Les Jeux Olympiques exigent une architecture emblématique et contextuelle, où les sites de Seine Saint-Denis se transforment en des emplacements chargés de références complexes.

Le Centre Aquatique Olympique et le pont autoroutier deviennent alors les fruits exemplaires de cette évolution dans un territoire en mutation. Face au Stade de France, véritable symbole, ce projet devient un dispositif visuel qui renoue avec l’histoire de la région.

Cette architecture, discrète et poétique, se concentre sur l’eau et la lumière, exprimant ainsi toutes leurs qualités vibratoires. Elle refuse de dévoiler les éléments techniques et constructifs de ce complexe, préférant se dissimuler et laisser place à des innovations et des articulations complexes. À l’extérieur, elle dévoile peu de choses, mais à l’intérieur, une surprise lumineuse et verticale attend, unifiant la complexité dans une apparente simplicité.